28 janvier 2008
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18:24
Après les gares, parlons des aéroports en particulier.
Je les aime encore moins que les gares.
Les gares, quelle que soit la raison, heureuse ou non, pour laquelle j'y vais, c'est du connu. Du connu dans du monde connu, puisque les gares sont en général en ville, alors que, pour des raisons évidentes, les aéroports sont un peu à perpette. Pour le cas des gares inconnues, disons que c'est moins d el'inconnu que pour un aéroport, quoi, m'énervez pas.
D'ailleurs, finalement, ce qui me stresse dans le fait de prendre l'avion, ce n'est pas tant l'avion, justement -je l'ai pris assez souvent pour que cela ne me fasse plus vraiment d'effet- ni même l'aéroport lui-même -certains ne sont pas si immanses que cela- que le fait de l'atteindre, l'aéroport en question. Ce qui en général est onéreux en argent et en temps. Et en stress. Et quand on s'appelle (ou se surnomme) Sel, éviter au maximum les sources de stress, c'est la condition numéro 1 pour la plupart des choses, dont les voyages.
Et puis dans les voyages en avion, on est séparés de nos bagages. Oh, je sais bien, en théorie, ils ne sont aps bien loin, et sur mes quelques trajets en aériens, je n'ai jamais eu à déplorer de perte, ni même de retard, de valise. Mais on m'a raconté assez souvent que cela arrivait que voilà. Et puis, les bagages : 20 kg, pas plus. Un seul bagage à main, et sans liquide dedans. (je me souviens d'un voyage d'un we en avion, pas de valise, je n'avais qu'un petit sac, que je gardais en bagage à main. Il contenait donc gel douche et compagnie. Gel et compagnie qui sont restés à l'aéroport. Des bouteilles neuves, bien entendu. Oh, c'est sûr, ce n'était pas grave, d'ailleurs, je n'en ai pas fait une maladie. Mais l'avion, si je peux éviter, je préfère.
Pour ce qui est de la limite des 20 kg, en soi, ce n'est aps si grave, vu que je suis de toute façon incapable de soulever ce poids. Je peux à la limite le traîner, mais je suis à la merci de l'absence d'escalators, et ça, c'est boarf. Mais en train, si je veux, je peux les répartir dans plus de sacs. Ce qui ne change pas grand chose, est encore plus encombrant, mais que j'arrive mieux à porter (enfin ça, je vous le dirais la semaine prochaine). Et en tous cas, pas besoin de peser tout cela avant de partir.
Le train est cher, nous sommes d'accord, souvent plus que l'avion. Mais au moins, on le sait. les prix de l'avion varient tellement d'un jour à l'autre que c'est impossible !
Après,c'est entendu : pour aller au Japon, ou à la Réunion, sans parler du Mexique, l'avion a ses avantages sur le train:p Mais ça tombe bien, moi, je ne vais qu'à Rome...
Ces deux photos ont été prises de Ciampino, un des aéroports de Rome. Le 31 mars 2007. Vous savez quoi ? A cette époque, je rentrais en vacances en France. cette année, à cette époque, je serais déjà en France, et pas juste pour une semaine. Pour la première photo, l'appareil m'indique 6h30 du matin. A mon avis, il était plutôt 7h30, ce qui est déjà tôt pour être à un aéroport, mais au moins, j'avais pu admirer un joli paysage, à travers les vitres. Du moins, plus joli que ce à quoi je m'attendais. Bienvenue en Italie.
humeur : celle d'un lundi banal de janvier. Un peu morose, donc, mais ça va passer.
bande-son : un cd que je découvre offert par frangin et frangine. Il est rien chouette, alors merci beaucoup !
Je les aime encore moins que les gares.
Les gares, quelle que soit la raison, heureuse ou non, pour laquelle j'y vais, c'est du connu. Du connu dans du monde connu, puisque les gares sont en général en ville, alors que, pour des raisons évidentes, les aéroports sont un peu à perpette. Pour le cas des gares inconnues, disons que c'est moins d el'inconnu que pour un aéroport, quoi, m'énervez pas.
D'ailleurs, finalement, ce qui me stresse dans le fait de prendre l'avion, ce n'est pas tant l'avion, justement -je l'ai pris assez souvent pour que cela ne me fasse plus vraiment d'effet- ni même l'aéroport lui-même -certains ne sont pas si immanses que cela- que le fait de l'atteindre, l'aéroport en question. Ce qui en général est onéreux en argent et en temps. Et en stress. Et quand on s'appelle (ou se surnomme) Sel, éviter au maximum les sources de stress, c'est la condition numéro 1 pour la plupart des choses, dont les voyages.
Et puis dans les voyages en avion, on est séparés de nos bagages. Oh, je sais bien, en théorie, ils ne sont aps bien loin, et sur mes quelques trajets en aériens, je n'ai jamais eu à déplorer de perte, ni même de retard, de valise. Mais on m'a raconté assez souvent que cela arrivait que voilà. Et puis, les bagages : 20 kg, pas plus. Un seul bagage à main, et sans liquide dedans. (je me souviens d'un voyage d'un we en avion, pas de valise, je n'avais qu'un petit sac, que je gardais en bagage à main. Il contenait donc gel douche et compagnie. Gel et compagnie qui sont restés à l'aéroport. Des bouteilles neuves, bien entendu. Oh, c'est sûr, ce n'était pas grave, d'ailleurs, je n'en ai pas fait une maladie. Mais l'avion, si je peux éviter, je préfère.
Pour ce qui est de la limite des 20 kg, en soi, ce n'est aps si grave, vu que je suis de toute façon incapable de soulever ce poids. Je peux à la limite le traîner, mais je suis à la merci de l'absence d'escalators, et ça, c'est boarf. Mais en train, si je veux, je peux les répartir dans plus de sacs. Ce qui ne change pas grand chose, est encore plus encombrant, mais que j'arrive mieux à porter (enfin ça, je vous le dirais la semaine prochaine). Et en tous cas, pas besoin de peser tout cela avant de partir.
Le train est cher, nous sommes d'accord, souvent plus que l'avion. Mais au moins, on le sait. les prix de l'avion varient tellement d'un jour à l'autre que c'est impossible !
Après,c'est entendu : pour aller au Japon, ou à la Réunion, sans parler du Mexique, l'avion a ses avantages sur le train:p Mais ça tombe bien, moi, je ne vais qu'à Rome...
Ces deux photos ont été prises de Ciampino, un des aéroports de Rome. Le 31 mars 2007. Vous savez quoi ? A cette époque, je rentrais en vacances en France. cette année, à cette époque, je serais déjà en France, et pas juste pour une semaine. Pour la première photo, l'appareil m'indique 6h30 du matin. A mon avis, il était plutôt 7h30, ce qui est déjà tôt pour être à un aéroport, mais au moins, j'avais pu admirer un joli paysage, à travers les vitres. Du moins, plus joli que ce à quoi je m'attendais. Bienvenue en Italie.
humeur : celle d'un lundi banal de janvier. Un peu morose, donc, mais ça va passer.
bande-son : un cd que je découvre offert par frangin et frangine. Il est rien chouette, alors merci beaucoup !