L'avantage, lorsque des amis ou famille viennent vous rendre visite, c'est qu'on peut en profiter pour faire ce qu'on n'a jamais l'énergie de faire en temps normal : jouer les touristes. C'est qu'il en faut, du courage, pour faire une heure de queue pour pouvoir monter en haut de Notre-Dame de Paris ! Tout ça pour se crever en montant plus de 400 marches, puisque ce bon vieux Viollet-le Duc n'a pas jugé bon d'y faire installer des ascenseurs. Ou au moins des escalators, quoi, mince !
Bref, après ce petit effort, il faut reconnaître que la vue vaut la peine. Ainsi que la proximité des gargouilles.
Bon appétit !
Célèbre gargouille et célèbre vue (je me demande ce qu'elle a pensé de la construction de la tour Montparnasse, elle)
Nous sommes ensuite allés à la Sainte-Chapelle toute proche. Aussi belle que dans mon souvenir. Il parait qu'autrefois, le sol était de marbre blanc. Et là, j'imagine la sainte-chapelle, un après-midi ensoleillé, avec tous les vitraux se reflétant, prenant un bain de lumière colorée. Le guide nous a expliqué que cela avait été conçu pour être une représentation du paradis. J'avoue que ça doit être émouvant de beauté.
Moi qui suis déjà gaga du moindre petit reflet de vitraux...
(ici Cologne en août 2009. J'avais déjà posté la photo à l'époque, mais bon, j'imagine que vous ne m'en voudrez pas trop)
(Non, j'ai pas pris de photo de la Sainte-Chapelle, il y avait bien trop de monde.)
Humeur du moment : j'aime beaucoup août à Paris, le métro et la plupart des rues sont très calmes (bon, sauf autour du Louvvre et de ND de Paris justement, hein, forcemment). En plus, cette année, il faut le reconnaître, un des oulangers du coin a eu le bon goût de rester ouvert pendant l'ensemble du mois. Nous avons donc pu échapper à mon marroner du mois d'août, la recherche désespérée de pain !