7 septembre 2006
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23:49
Si je faisais une note maintenant, ce serait certainement pour parler d'amour.
Si je faisais une note, je pense que je questionnerais d'amour.
J'imagine que d'abord, je me demanderai ce que c'est, au final, que ce sentiment. Un sacré mélange, certainement, mais à part cela? En quoi consiste-il? qu'est-ce qui fait qu'une fois, c'est de l'amour et une autre fois, pas?Y'a-t-il une "pierre de touche" de l'amour?
Je demanderai ce qui le fait naître, ou non. Si c'est vrai, cette histoire de jenesaisquoi qui est là ou pas. Et si on n'a pas ce jenesaisquoi, je demanderai, est-ce qu'on est exclu de cette fameuse histoire, de ce fameux sentiment dont tout le monde vante les mérites?
Oui, je suppose que si j'écrivais une note ce soir, je me demanderai si finalement, l'amour ne serait pas un malheur comme un autre. Un malheur, oui, à cause de cette impression de sérieux, cette impression que c'est l'amour qui complique tout.
Tout en me souvenant que l'amour est aussi un formidable moteur, un moteur qui est loin d'être désagréable. Quand il est comblé, du moins. Que l'amour, c'est aussi le désir qui porte vers l'autre.
Sans doute que les questions s'enchaîneraient, des questions qui n'attendent pas de réponse. des questions qui n'ont sans doute d'autres solutions que celles que chacun se donne.
Des réponses que, peut-être, je me forgerai au fur et à mesure de ma vie. Ou pas. peut-être qu'on les garde toujours, ces questionnements, à moins qu'ils ne soient remplacés par d'autres.
Tout en sachant que l'amour est un sentiment, qu'il ne peut certainement pas être intellectualisé, qu'il faut se laisser porter par la vie, que le sentiment est souvent bien capricieux. Qu'on ne peut pas influencer amour, malgré nos (vaines, justement?) tentatives.
Tout en sachant qu'amour est un sentiment si souvent idéalisé, trop, sans doute...
Si j'écrivais une note ce soir...
bande-son : la Cura. Mais si, un jour...
humeur : un peu étrange, un peu perdue.
Si je faisais une note, je pense que je questionnerais d'amour.
J'imagine que d'abord, je me demanderai ce que c'est, au final, que ce sentiment. Un sacré mélange, certainement, mais à part cela? En quoi consiste-il? qu'est-ce qui fait qu'une fois, c'est de l'amour et une autre fois, pas?Y'a-t-il une "pierre de touche" de l'amour?
Je demanderai ce qui le fait naître, ou non. Si c'est vrai, cette histoire de jenesaisquoi qui est là ou pas. Et si on n'a pas ce jenesaisquoi, je demanderai, est-ce qu'on est exclu de cette fameuse histoire, de ce fameux sentiment dont tout le monde vante les mérites?
Oui, je suppose que si j'écrivais une note ce soir, je me demanderai si finalement, l'amour ne serait pas un malheur comme un autre. Un malheur, oui, à cause de cette impression de sérieux, cette impression que c'est l'amour qui complique tout.
Tout en me souvenant que l'amour est aussi un formidable moteur, un moteur qui est loin d'être désagréable. Quand il est comblé, du moins. Que l'amour, c'est aussi le désir qui porte vers l'autre.
Sans doute que les questions s'enchaîneraient, des questions qui n'attendent pas de réponse. des questions qui n'ont sans doute d'autres solutions que celles que chacun se donne.
Des réponses que, peut-être, je me forgerai au fur et à mesure de ma vie. Ou pas. peut-être qu'on les garde toujours, ces questionnements, à moins qu'ils ne soient remplacés par d'autres.
Tout en sachant que l'amour est un sentiment, qu'il ne peut certainement pas être intellectualisé, qu'il faut se laisser porter par la vie, que le sentiment est souvent bien capricieux. Qu'on ne peut pas influencer amour, malgré nos (vaines, justement?) tentatives.
Tout en sachant qu'amour est un sentiment si souvent idéalisé, trop, sans doute...
Si j'écrivais une note ce soir...
bande-son : la Cura. Mais si, un jour...
humeur : un peu étrange, un peu perdue.