7 août 2008
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10:59
Pire, même, MON sang sur les murs !
Mais que s'est-il donc passé cette nuit pour en arriver à ce massacre ?
Je dormais benoîtement dans la quiétude de mon appartement quand j'ouvris un oeil. Non, pas de bruits de pas (pas de bruit de pas, marrant, cette expression, tenez) suspects (de toute façon, on entend au-dessus, donc même les bruits de pas ne sont pas suspects) ou quoi que ce soit, non, simplement, je me rendais compte que j'étais en train de me gratter insconsciemment le doigt. Et puis que tiens, tant qu'on y était, ça me démangeait aussi sur l'épaule. Ronchonnant contre ces grmblld*%# de moustiques, dans un demi sommeil, je me trainai dans la salle de bain pour trouver de la crème apaisante, manquant au passage de renverser le pauvre meuble qui n'avait rien demandé à personne (que voulez-vous, il ne faut pas me réveiller en pleine nuit, c'est comme ça, sinon, c'est la catastrophe assurée).
Voulant éviter quand même de plus amples catastrophes, je finis par allumer la lumière. Et par apercevoir, sur le mur immaculé, à la tête de mon lit...Une petite bestiole, qui, surprise, ressemblait justement à ces grmblld*%# de moustiques. Mon sang, enfin, celui qui me restait car je vous rappelle qu'après deux ou trois piqûres, j'étais complètement exsangue (au moins), je pris un bouquin (j'eu quand même la présence d'esprit de choisir le plus vieux et le plus sombre, vous avez là enfin le pourquoi du comment il y a toujours au moins trois bouquins qui traînent sur ma table de nuit, c'est parce que on ne sait jamais), et armée de tout mon courage, allai l'écraser contre la bestiole.
Bestiole qui, en pleine digestion et se sentant l'estomac un peu lourd (Comme quoi, elle en avait pris, du sang ! Parce que je manque de fer donc mon sang ne peut pas être lourd. Cqfd), ne bougea pas d'un pouce et s'écrabouilla donc fort joliment, laissant une grosse trainée (non, c'est pas moi la traînée, non mais, je ne vous permet pas !) rouge sur le mur précédemment blanc.
Une traînée rouge. Mon sang, donc. Brr.
Immonde bestiole. Mais je suis vengée désormais. Tremblez, moustiques.
(le problème, c'est que je n'arrive à les attraper qu'APRES qu'ils aient fait leur repas, ce qui est un peu tard (un peu comme si un mouton ne savait tuer un loup que quand celui-ci le digère...Eyh, mais remarquez, c'est pas si con, c'est Pierre et le loup, finalement, cette histoire, non ? Avec le coin coin du canard dans l'estomac du loup, tout ça...)
Bref bref. (que les fans de la propreté se rassurent : mon mur a retrouvé son immaculité d'antan, car un coup d'éponge et hop, il n'y paraissait plus. Sel put se replonger dans le sommeil du juste (même si les péripéties de la nuit n'étaient pas finies et elle dû encore se relever au cours de la nuit...mais ça, c'est une autre histoire (qui n'a absolument aucun intérêt, vu que j'avais juste laissé les fenêtre ouvertes et qu'il y eu un bel orage de derrière les fagots, et qu'il fallut donc que j'aille fermer lesdites fenêtres. Je mène décidemment une vie fascinante, moi aussi))
bande-son : momentum
humeur : vivement les vacances. Vraiment. ça tombe bien, c'est demain soir.
Mais que s'est-il donc passé cette nuit pour en arriver à ce massacre ?
Je dormais benoîtement dans la quiétude de mon appartement quand j'ouvris un oeil. Non, pas de bruits de pas (pas de bruit de pas, marrant, cette expression, tenez) suspects (de toute façon, on entend au-dessus, donc même les bruits de pas ne sont pas suspects) ou quoi que ce soit, non, simplement, je me rendais compte que j'étais en train de me gratter insconsciemment le doigt. Et puis que tiens, tant qu'on y était, ça me démangeait aussi sur l'épaule. Ronchonnant contre ces grmblld*%# de moustiques, dans un demi sommeil, je me trainai dans la salle de bain pour trouver de la crème apaisante, manquant au passage de renverser le pauvre meuble qui n'avait rien demandé à personne (que voulez-vous, il ne faut pas me réveiller en pleine nuit, c'est comme ça, sinon, c'est la catastrophe assurée).
Voulant éviter quand même de plus amples catastrophes, je finis par allumer la lumière. Et par apercevoir, sur le mur immaculé, à la tête de mon lit...Une petite bestiole, qui, surprise, ressemblait justement à ces grmblld*%# de moustiques. Mon sang, enfin, celui qui me restait car je vous rappelle qu'après deux ou trois piqûres, j'étais complètement exsangue (au moins), je pris un bouquin (j'eu quand même la présence d'esprit de choisir le plus vieux et le plus sombre, vous avez là enfin le pourquoi du comment il y a toujours au moins trois bouquins qui traînent sur ma table de nuit, c'est parce que on ne sait jamais), et armée de tout mon courage, allai l'écraser contre la bestiole.
Bestiole qui, en pleine digestion et se sentant l'estomac un peu lourd (Comme quoi, elle en avait pris, du sang ! Parce que je manque de fer donc mon sang ne peut pas être lourd. Cqfd), ne bougea pas d'un pouce et s'écrabouilla donc fort joliment, laissant une grosse trainée (non, c'est pas moi la traînée, non mais, je ne vous permet pas !) rouge sur le mur précédemment blanc.
Une traînée rouge. Mon sang, donc. Brr.
Immonde bestiole. Mais je suis vengée désormais. Tremblez, moustiques.
(le problème, c'est que je n'arrive à les attraper qu'APRES qu'ils aient fait leur repas, ce qui est un peu tard (un peu comme si un mouton ne savait tuer un loup que quand celui-ci le digère...Eyh, mais remarquez, c'est pas si con, c'est Pierre et le loup, finalement, cette histoire, non ? Avec le coin coin du canard dans l'estomac du loup, tout ça...)
Bref bref. (que les fans de la propreté se rassurent : mon mur a retrouvé son immaculité d'antan, car un coup d'éponge et hop, il n'y paraissait plus. Sel put se replonger dans le sommeil du juste (même si les péripéties de la nuit n'étaient pas finies et elle dû encore se relever au cours de la nuit...mais ça, c'est une autre histoire (qui n'a absolument aucun intérêt, vu que j'avais juste laissé les fenêtre ouvertes et qu'il y eu un bel orage de derrière les fagots, et qu'il fallut donc que j'aille fermer lesdites fenêtres. Je mène décidemment une vie fascinante, moi aussi))
bande-son : momentum
humeur : vivement les vacances. Vraiment. ça tombe bien, c'est demain soir.