28 juillet 2008
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18:54
J'aime bien Paris en juillet. Il y a moins de monde, mais assez quand même pour que la ville ne s'arrête aps de tourner et qu'on ne se sente pas soudain bien seuls dans cette fourmillière toute vide de fourmis.
J'aime Paris en juillet parce que, c'est vrai, il fait chaud, et prendre le métro est presque une gageure, mais comme je le disais, il y a moins de monde, et donc, ça reste moins désagréable qu'en hiver, quand on peut voir les microbes tellement il y en a, mais que tu es quand même obligée de te faire éternuer dessus, rapport aux 3 millimètres grand maximum qui te séparent des autres gens.
En plus, en juillet, contrairement au mois de juin, il y a de la place pour s'installer mi-ombre mi-soleil juste comme j'aime, le midi, chez Luxembourg.
Peut-être aussi que si j'aime Paris en juillet, c'est tout bêtement parce que j'aime le mois de juillet. C'est pile le milieu de l'été. Les couleurs sont franches, un peu écrasées par la lumière et le soleil. Pas besoin de s'ensevelir sous des tonnes de vêtements. Comme il fait jour tard, ressortir parce qu'on a oublié le pain n'est pas une corvée. Enfin, presque pas (on est flemmard ou on l'est pas, hein. Et je le suis définitivement).
Pis j'aime bien le mois de juillet parce qu'en général, si les vacances ne sont pas là, c'est qu'elles ne sont aps très loin dans le futur quand même.
Auncun rapport, mais grâce à l'émission Karambolages, sur Arte le dimanche soir, je sais désormais que s'il y a moins de crottes de chiens à Berlin qu'à Paris, ce n'est pas que les Allemands sont plus propres, non non (bon, en fait, ils le sont quand même, mais c'est un autre problème). C'est juste que eux doivent subir une taxe sur les chiens. Donc, logiquement, de chiens, il y a moins.
Par ailleurs, toujours grâce à la télé (comme quoi...), j'ai fait une grande découverte, une de celle qui révolutionne mon existence : les hobbits existent ! Enfin, ont existé, plus précisemment, et c'est déjà pas mal. Bon, par contre, je ne sais pas s'ils fumaient de l'herbe à pipe : il s'agit d'une ancienne espère humaine cousine de la notre, un peu comme les de Néanderthal (enfin, si j'ai bien compris). Je ne sais pas s'ils aveint les pieds particulièrement velus, mais ils ont choppé le nom à cause de leur petite taille. De même que leurs autres cousins, les Goliaths, étaient des géants.
On en apprend, des choses...
Tenez, je parlais du Luxembourg : on y trouve aussi des pommes qui doivent être absolument délicieuses (mais interdit d'y toucher, évidemment) :
Ah zut, je ne sais pas si on arrive à lire : les "reinettes parmentier". Allier ainsi la pomme et la pomme de terre, deux de mes mêts favoris, ça ne devrait pouvoir être que bon. Mais finalement, il n'est que de juste que ces deux là se retrouvent, non?
En tous cas, tout va bien, elles ont bien mis leurs chaussettes contre les vilains prédateurs. Je suppose que le ciel, lui, arrive à passer ?
Humeur : les lois sur le temps de travail, tout ça...Joie et bonheur.
bande-son : Loreena Mc Kennit, All souls night
J'aime Paris en juillet parce que, c'est vrai, il fait chaud, et prendre le métro est presque une gageure, mais comme je le disais, il y a moins de monde, et donc, ça reste moins désagréable qu'en hiver, quand on peut voir les microbes tellement il y en a, mais que tu es quand même obligée de te faire éternuer dessus, rapport aux 3 millimètres grand maximum qui te séparent des autres gens.
En plus, en juillet, contrairement au mois de juin, il y a de la place pour s'installer mi-ombre mi-soleil juste comme j'aime, le midi, chez Luxembourg.
Peut-être aussi que si j'aime Paris en juillet, c'est tout bêtement parce que j'aime le mois de juillet. C'est pile le milieu de l'été. Les couleurs sont franches, un peu écrasées par la lumière et le soleil. Pas besoin de s'ensevelir sous des tonnes de vêtements. Comme il fait jour tard, ressortir parce qu'on a oublié le pain n'est pas une corvée. Enfin, presque pas (on est flemmard ou on l'est pas, hein. Et je le suis définitivement).
Pis j'aime bien le mois de juillet parce qu'en général, si les vacances ne sont pas là, c'est qu'elles ne sont aps très loin dans le futur quand même.
Auncun rapport, mais grâce à l'émission Karambolages, sur Arte le dimanche soir, je sais désormais que s'il y a moins de crottes de chiens à Berlin qu'à Paris, ce n'est pas que les Allemands sont plus propres, non non (bon, en fait, ils le sont quand même, mais c'est un autre problème). C'est juste que eux doivent subir une taxe sur les chiens. Donc, logiquement, de chiens, il y a moins.
Par ailleurs, toujours grâce à la télé (comme quoi...), j'ai fait une grande découverte, une de celle qui révolutionne mon existence : les hobbits existent ! Enfin, ont existé, plus précisemment, et c'est déjà pas mal. Bon, par contre, je ne sais pas s'ils fumaient de l'herbe à pipe : il s'agit d'une ancienne espère humaine cousine de la notre, un peu comme les de Néanderthal (enfin, si j'ai bien compris). Je ne sais pas s'ils aveint les pieds particulièrement velus, mais ils ont choppé le nom à cause de leur petite taille. De même que leurs autres cousins, les Goliaths, étaient des géants.
On en apprend, des choses...
Tenez, je parlais du Luxembourg : on y trouve aussi des pommes qui doivent être absolument délicieuses (mais interdit d'y toucher, évidemment) :
Ah zut, je ne sais pas si on arrive à lire : les "reinettes parmentier". Allier ainsi la pomme et la pomme de terre, deux de mes mêts favoris, ça ne devrait pouvoir être que bon. Mais finalement, il n'est que de juste que ces deux là se retrouvent, non?
En tous cas, tout va bien, elles ont bien mis leurs chaussettes contre les vilains prédateurs. Je suppose que le ciel, lui, arrive à passer ?
Humeur : les lois sur le temps de travail, tout ça...Joie et bonheur.
bande-son : Loreena Mc Kennit, All souls night