18 janvier 2007
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22:58
J'allais parler des fast-food à l'italienne, ou de la télé. ou du temps qu'il fait. J'allais répondre à un questionnaire en attente. Tout cela aurait certainement été palpitant. Si, si, pas besoin de faire cette moue dubitative !
Finalement, il faudra que vous vous contentiez de l'anecdote du jour.
Mais qu'est-ce que l'anecdote du jour , voilà ce que vous vous demandez tous. Si si, je vous le jure, c'est même depuis que vous alvez lu la phrase prcédente votre pérocupation principale.
Quelle est donc l'anecdote du jour?
Grave question.
Un peu de patience, que je vous raconte.
ça commence un soir. ce soir, même. Il fait nuit (ben oui, c'est un soir d'hiver, donc, il fait nuit).
On s'en fout, de toute façon, je suis dans ma chambre, lumière allumée.
Très occupée à déprim légumis me reposer.
On frappe à ma porte. Mais qui ose donc me déranger alors que je suis en train de m'autolamenter sur moi-même et ma vie, hein? Un peu de respect, bordel !
Oh, surprise : un des colocataires (vraiment étonnant). Le français (sur six, nous sommes deux français, les autres sont italiens).
Bon, je vous passe les "mais on t'a pas vue ce soir, t'as pas mangé? C'est pas bien tu dois prendre soin de ta santé"(c'est nul, de pas vivre seule, on peut même pas se laisser aller tranquille, bordel (EDIT : bon, je viens de me rendre compte que c'est la 2e fois que j'utilise "bordel" dans ma phrase. Or, ce blog, c'est un blog bien et tout, quand meme, alors, ça ne va pas du tout, ça...J'ai une réputation à tenir ! (bordel) Bon, puisque je sais que casino, ça veut dire bordel, ben voilà. On va remplacer par casino.) Casino, donc). Ils s'y sont tous mis, de toute façon. Voilà qui commençait bien.
Mais bref, là n'était pas l'Anecdote du jour. Non. Car le colocataire en question (le français, donc), me dit:
-bon, j'ai quelque chose pour toi
Vous vous doutez bien que, déprime ou pas, attirée par l'appat du gain, sans compter la curiosité, je le laissai continuer. Et lui de me présenter une liasse de feuilles sales, qui avaient manifestement traînées par terre. Ah. Il commence à m'expliquer qu'il l'avait effectivement trouvée par terre. Bien.
Eh bien il s'agissait d'un cours d'archivistique (pour information, je suis archiviste). Le genre de cours qui doit se donner à peine 50 personnes par an et par pays. Le genre de cours que je n'avais pas trouvé (bon, pas vraiment cherché non plus), il y a deux ans, quand j'étais ici en Erasmus, pour études, justement, donc. Le truc de dingues par excellence (oui, faut être cinglé, pour être archiviste, franchement (remarquez, ça doit être le cas de pas mal de métiers (mais pour les métiers en rapport avec l'histoire, on est servis, quand même))
Voilà. C'était l'anecdote du jour. Et moi, je suis contente. je vais en faire des photocopies et potasser tout ça. Parce que, vous allez rire, mais ça a l'air de bien se recouper avec ce que j'ai appris moi-même à la fac en France.
Dieu, je sais pas si tu existe, mais j'aime bien quand tu fais ce genre de clin d'oeil.
(ou alors, c'était un signe pour me dire d'aller faire ma dernière année d'études, celle que j'ai squizzé parce que j'avais une proposition de contrat, doublée d'un ras-le-bol de la fac?)
J'ai faim, moi, maintenant, à cause de ces conneries.
bande-son : vivere, Vasco Rossi : vivere, e sorirere dei guai, vivere, e non essere mai contento, vivere, e pensare che domani sarà sempre meglio
humeur : une pub pour sèche-cheveux : oui, ce sèche-cheveux est très bien : il hydrate les cheveux tout en les séchant. Moi je dis, trop fort, les mecs. Je prends.
Finalement, il faudra que vous vous contentiez de l'anecdote du jour.
Mais qu'est-ce que l'anecdote du jour , voilà ce que vous vous demandez tous. Si si, je vous le jure, c'est même depuis que vous alvez lu la phrase prcédente votre pérocupation principale.
Quelle est donc l'anecdote du jour?
Grave question.
Un peu de patience, que je vous raconte.
ça commence un soir. ce soir, même. Il fait nuit (ben oui, c'est un soir d'hiver, donc, il fait nuit).
On s'en fout, de toute façon, je suis dans ma chambre, lumière allumée.
Très occupée à déprim légumis me reposer.
On frappe à ma porte. Mais qui ose donc me déranger alors que je suis en train de m'autolamenter sur moi-même et ma vie, hein? Un peu de respect, bordel !
Oh, surprise : un des colocataires (vraiment étonnant). Le français (sur six, nous sommes deux français, les autres sont italiens).
Bon, je vous passe les "mais on t'a pas vue ce soir, t'as pas mangé? C'est pas bien tu dois prendre soin de ta santé"(c'est nul, de pas vivre seule, on peut même pas se laisser aller tranquille, bordel (EDIT : bon, je viens de me rendre compte que c'est la 2e fois que j'utilise "bordel" dans ma phrase. Or, ce blog, c'est un blog bien et tout, quand meme, alors, ça ne va pas du tout, ça...J'ai une réputation à tenir ! (bordel) Bon, puisque je sais que casino, ça veut dire bordel, ben voilà. On va remplacer par casino.) Casino, donc). Ils s'y sont tous mis, de toute façon. Voilà qui commençait bien.
Mais bref, là n'était pas l'Anecdote du jour. Non. Car le colocataire en question (le français, donc), me dit:
-bon, j'ai quelque chose pour toi
Vous vous doutez bien que, déprime ou pas, attirée par l'appat du gain, sans compter la curiosité, je le laissai continuer. Et lui de me présenter une liasse de feuilles sales, qui avaient manifestement traînées par terre. Ah. Il commence à m'expliquer qu'il l'avait effectivement trouvée par terre. Bien.
Eh bien il s'agissait d'un cours d'archivistique (pour information, je suis archiviste). Le genre de cours qui doit se donner à peine 50 personnes par an et par pays. Le genre de cours que je n'avais pas trouvé (bon, pas vraiment cherché non plus), il y a deux ans, quand j'étais ici en Erasmus, pour études, justement, donc. Le truc de dingues par excellence (oui, faut être cinglé, pour être archiviste, franchement (remarquez, ça doit être le cas de pas mal de métiers (mais pour les métiers en rapport avec l'histoire, on est servis, quand même))
Voilà. C'était l'anecdote du jour. Et moi, je suis contente. je vais en faire des photocopies et potasser tout ça. Parce que, vous allez rire, mais ça a l'air de bien se recouper avec ce que j'ai appris moi-même à la fac en France.
Dieu, je sais pas si tu existe, mais j'aime bien quand tu fais ce genre de clin d'oeil.
(ou alors, c'était un signe pour me dire d'aller faire ma dernière année d'études, celle que j'ai squizzé parce que j'avais une proposition de contrat, doublée d'un ras-le-bol de la fac?)
J'ai faim, moi, maintenant, à cause de ces conneries.
bande-son : vivere, Vasco Rossi : vivere, e sorirere dei guai, vivere, e non essere mai contento, vivere, e pensare che domani sarà sempre meglio
humeur : une pub pour sèche-cheveux : oui, ce sèche-cheveux est très bien : il hydrate les cheveux tout en les séchant. Moi je dis, trop fort, les mecs. Je prends.