13 avril 2007
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21:07
Je n'ai pas fait exprès, mais cette note va être assez liée à la précédente, je pense.
Je ne peux m'empêcher de voir en cette fenêtre éclairée dans un palais de la Renaissance (Michel-Ange, quand même (au moins pour la place, mais les bâtiments aussi, il me semble)) une invitation à la danse. Je ne peux m'empêcher d'imaginer, à la lumière des lustres, de vrais lustres avec de vraies bougies qui s'éteignent avec un vrai éteignoir, un bal tourbillonant, des valses tendres ou endiablées, des rires et des yeux qui brillent, des grandes robes (suis pas une fille pour rien, hein), les corps et les têtes qui tournent, les violons, aussi, comme dans la chanson. Et les coeurs. Evidemment, les coeurs.
Je sais que les réalités sont souvent moins riantes, que sous les maquillages se cachent les soucis, et sous les sourires des rictus hypocrites (et aussi que la valse proprement dite n'existait pas du temps de Michel -Ange, mais on n'est pas à ça près, hein), mais qu'importe, ce n'est pas toujours le cas, et puis y croire, juste le temps d'une soirée...Au moins le temps d'une soirée...Tourner, tourbilloner à en perdre la tête (en espérant évidemment qu'une épaule bienveillante (et masculine) voudra bien la retenir avant qu'elle ne tombe tout à fait (je parle de la tête))
Bon, et la vraie réalité, c'est que derrière cette fenêtre, le seul bal qui se danse, c'est celui des touristes venus admirer le musée du Capitole. Tant pis, j'aurai joué ma princesse quelques minutes. A défaut d'ambition, il doit me rester quelques rêves, il faut croire.
bande-son : Amélie Poulain, Dernière valse
humeur : c'est bizarre, overblog a décidé unilatéralement de ne plus m'envoyer de mail aux commentaires postés. je suis toute triste. Si l'un de vous à la solution...(oui oui, je suis allé voir dans les paramètres, et la case est bien cochée)
Je ne peux m'empêcher de voir en cette fenêtre éclairée dans un palais de la Renaissance (Michel-Ange, quand même (au moins pour la place, mais les bâtiments aussi, il me semble)) une invitation à la danse. Je ne peux m'empêcher d'imaginer, à la lumière des lustres, de vrais lustres avec de vraies bougies qui s'éteignent avec un vrai éteignoir, un bal tourbillonant, des valses tendres ou endiablées, des rires et des yeux qui brillent, des grandes robes (suis pas une fille pour rien, hein), les corps et les têtes qui tournent, les violons, aussi, comme dans la chanson. Et les coeurs. Evidemment, les coeurs.
Je sais que les réalités sont souvent moins riantes, que sous les maquillages se cachent les soucis, et sous les sourires des rictus hypocrites (et aussi que la valse proprement dite n'existait pas du temps de Michel -Ange, mais on n'est pas à ça près, hein), mais qu'importe, ce n'est pas toujours le cas, et puis y croire, juste le temps d'une soirée...Au moins le temps d'une soirée...Tourner, tourbilloner à en perdre la tête (en espérant évidemment qu'une épaule bienveillante (et masculine) voudra bien la retenir avant qu'elle ne tombe tout à fait (je parle de la tête))
Bon, et la vraie réalité, c'est que derrière cette fenêtre, le seul bal qui se danse, c'est celui des touristes venus admirer le musée du Capitole. Tant pis, j'aurai joué ma princesse quelques minutes. A défaut d'ambition, il doit me rester quelques rêves, il faut croire.
bande-son : Amélie Poulain, Dernière valse
humeur : c'est bizarre, overblog a décidé unilatéralement de ne plus m'envoyer de mail aux commentaires postés. je suis toute triste. Si l'un de vous à la solution...(oui oui, je suis allé voir dans les paramètres, et la case est bien cochée)