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Entre bleu clair et bleu foncé

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14 février 2008 4 14 /02 /février /2008 19:04
Il y a des jours où tout fait signe, où on est attentif au moindre détail.
C'était un peu ce que je m'étais dit  lorsque j'avais pris cette photo, il y a maintenant un certain temps.  C'était  dans une rue où je passe très souvent, puisqu'elle est entre mon lieu de travail, et là où je vais manger le midi. A Rome, hein. Alors aujourd'hui (c'est moi où il y a eu moins de tapage que d'hab? C'est peut-être que j'y ai simplement été moins sensible? ), j'ai regardé l'endroit avec, évidemment, amusement et un peu d'émotion quand même. je reste une fille, hein, même si les coeurs que je présente ne sont pas rose, mais gris et en bitume. C'est tout moi, ça. "je te donne mon coeur, il est moche, rugueux et sale, mais bon, suis trop gentille, je te le donne quand même"(m'engueulez pas, c'est pas de la dévalorisation, enfin si, mais si peu, j'ai bien le droit un peu de temps en temps, non?)

Puisque c'est la St Val', je suppose que c'est le moment où jamais de la publier.

[sauf que overblog décide justement aujourd'hui de bugguer sur les images. Vous pouvez la voir ici, et, éventuellement, je la mettrais directement sur ce blog quand tout ça sera réparé]

Allez, love sur vous tous, les gens. Prenez soin de vous ainsi que de ceux que vous aimez, au sens le plus large du terme.


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11 février 2008 1 11 /02 /février /2008 19:11
J'ai tendance à voir de la Bretagne un peu partout.  Sans doute parce que en vrai, je la connais plutôt mal. Donc, forcemment, dès que je vois un petit élément qui pourrait y faire référence, hop. Je l'avais déjà trouvé en Suisse,  la voici donc à Rome.

Je vous l'accorde, j'ai tendance à confondre "bord de mer en général" et "Bretagne". Oh et puis zut, ils pourraient être fiers, les Bretons, que je trouve un air de leur pays à Rome, avec la température et le ciel que nous avons eu ces derniers jours !

Bref, vous vous demandez, bien entendu, d'où me vient cette comparaison. Pas du plat pays, cette fois-ci, oh non non. Rome est encore plus pentue que  le coin de Suisse  où j'étais allée. Non non, promis je n'exagère pas. Bon, presque pas.
bref, pourquoi cette comparaison ? J'arrête de vous faire languir et photo :

P1030615-copie-1.JPG
(je mets la photo en grand malgré son flagrant manque d'intéret parce que sinon, on ne voyait strictement rien)

Bon, ceusses qui me font penser à la mer, ce sont les mouettes, hein, pas ces espèces d'oiseaux noirs.(meuh non, c'est pas la couleur de l'eau non plus, qui est là d'un beau vert tibérin. Pis d'abord, en Bretagne, elle est noire et...Ouais, j'ai compris, je sors). Et je sais aussi que Rome, c'est pas si loin de la mer que cela. Je vous l'accorde. Mais techniquement, ce n'est pas au bord de la mer quand même, et toc.

Bon, si la couleur de l'eau ne vous suffisait pas pour faire preuve que cette photo a bien été prise à Rome, tenez, un bout de pont.

P1030616.JPG
ça me fait penser à celle-là, il y a  environ un an, qui jouait la gardienne de la lanterne...Oua lors était-elle l'allumeuse de réverbère ? Qui doit veiller nuit et jour pour ne pas râter l'heure d'allumage et celle d'éteignage ?
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bande son : Wise guys, she's amazing

humeur : les mimosas sont en fleurs, c'est magnifique : faudra vraiment que j'arrive à prendre une photo d'ici le  8 mars !

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7 février 2008 4 07 /02 /février /2008 21:20
Chacun ses dadas, hein. Moi, un des rares points positifs au fait de me trouver ici, c'est la lumière. Dommage qu'il fasse nuit encore un peu tôt, sinon, ce serait parfait  frais le matin et chaud en journée et un beau soleil depuis deux jours...Pourvu que cela dure. Le nmanque de lumière a vraiment effet sur moi...C'est comme le froid, tiens. ça tombe bien, ici, il fait chaud, au moins en journée.

Il faut être honnête, à Paris aussi, on peut trouver de jolies lumières. Après tout, c'est le même soleil, hein. Mais déjà, une lumière dorée sur un mur gris, c'est quand même pas aussi joli que la même sur un mur ocre. Toujours mieux qu'une lumière grise sur un mur gris (ou même, sur un ocre), hein, mais quand même. Et puis Rome et ses collines, c'est quand même agréable, pour les points de vue. En sortant du boulot  ici, j'ai une jolie vue sur la Ville, alors pour peu que le soleil soit en train de décliner à l'horizon, ça peut faire de bien jolies choses. A Paris, en sortant du boulot, je vois une rue, des bagnoles, et pour voir la lumière, il faut bien penser à lever le nez.
Sans doute une autre différence, ça. A  Paris, on ne peut profiter de ces lumières que dans les espaces dégagés. Sur la Seine, par exemple, ou au Trocadéro (voir ci-dessous). A Rome, ça doit être parce que les avenues sont plus larges, ou les immeubles de hauteurs diverses, mais en tous cas, il me semble que la lumière pénètre mieux dans la ville. Pour notre plus grand plaisir.

Mais j'en reviens à Paris, parfois, elle offre des instants de grâce. Je disais donc, l'autre jour, au Trocadéro.

P1030573.JPG
(inutile de préciser que cette photo ne rend absolument pas justice à l'original, et idem pour les photos suivantes)

Les Invalides étaient de la fête et entrèrenet dans la danse
P1030577.JPG

Puis, le ciel se mit en apothéose...Promis, je n'ai pas retouché la photo. Je ne vous met pas de photo de la Dame, toute proche, mais elle était rien belle, elle aussi, dans son costume de lumière (je suis d'humeur lyrique, ce soir, ou quoi?)

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Ah ben finalement, pour les photos de Rome, ce sera pour une autre fois !

humeur du moment : bah, cette note est presque positive, non? Fière je suis (bon, j'ai montré des photos de Paris, mais j'en avais montré de Rome quand j'étais en France, hein !)
Et comme dirait l'autre "j'aime bien les couchers de soleil, allons voir un coucher de soleil". S'il y a UN avantage à l'hiver (et je suis pas certaine qu'il y en ait beacoup d'autres...*sel mode ronchon*), c'est bien que l'heure des levers et couchers du soleil permettent aux flemmardes de mon type de les admirer

bande son : encore Loreena Mc Kennit, j'aime bien, décidemment. Pis j'avais toujours entendu parlé des jardins de l'Alhambra sans les avoir jamais vus...On peut les apercevoir dans le dvd de son concert, étant donné que c'est là qu'elle l'a donné, et pffiou...J'espère avoir la chance et l'honneur de les visiter un jour en vrai.
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5 février 2008 2 05 /02 /février /2008 21:42
Comment savoir, quand on est en train, que l'on arrive à Rome ? C'est très simple.
On s'aperçoit que les pins parasols ont remplacés les oliviers toscaniens (toscanais ?)
On croise un restau qui s'appelle "Chez Romulus" (enfin, en italien), comme ça, en rase campagne, ou presque.
Et puis, en approchant la ville, on devine des palazzi qui ressemblent à cela

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Ceux-là, en fait, ont été pris tout près de chez moi, et l'immeuble où j'habite ets pareil, mais du train, ce sont les mêmes, qu'on voit. Ils sont juste de plus en plus raprochés au fur et à mesure qu'on approche du centre. Je suppose qu'on peut en voir des pareils ailleurs en Italie, mais je ne crois pas au nord. Or, en train depuis Paris, je vais vous étonner, ben je viens du nord, justement.

Et oui, en italien, on dit palazzo pour désigner son immeuble d'habitation. ça claque et ça a plus de classe que..ben.."immeuble", justement, non ?

Comment savoir qu'on approche quand on est en avion ? Ah bah. On sent que l'avion commence à perdre de l'altitude, hein.

Bon, et cette photo prouve qu'il y a eu du beau temps le jour de mon arrivée, journée pourtant bien pluvieuse. Je l'avais déjà remarqué, mais bah, c'est décidemment vrai : la capacité de Rome à changer d'humeur rapidement est assez incroyable. Genre, je me disais "Rome est aussi peu contente de me voir que moi, vu la pluie avec laquelle elle m'accueille", et quand même, j'ai pu faire cette photo (bon, c'est à peu près la seule, mais quand même). Et ce matin, j'ai vu un embryon d'arc-en-ciel. Parce que bon, Rome, c'est vraiment pas une ville pratique, ça, oui. Mais elle peut être bien jolie, quand elle s'y met. On ne peut pas tout avoir, je suppose.

humeur : bah, faudra bien s'y faire. et je serais d'autant plus heureuse en rentrant d'avoir les magasins à portée de main et d'habiter à 20 minutes de mon lieu de travail !
bande-son : Loreena McKennit

EDIT : bon, je viens de regarder mes photos : bon, d'accord, mon lieu d'habitation ressemble plutôt à cela. Je dis cela avant que vous ne vous enflammiez dans les commentaires.

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28 janvier 2008 1 28 /01 /janvier /2008 18:24
Après les gares, parlons des aéroports en particulier.
Je les aime encore moins que les gares.
Les gares, quelle que soit la raison, heureuse ou non, pour laquelle j'y vais, c'est du connu.  Du connu dans du monde connu, puisque les  gares sont en général en ville, alors que, pour des raisons évidentes, les aéroports sont un peu à perpette. Pour le cas des gares inconnues, disons que c'est moins d el'inconnu que pour un aéroport, quoi, m'énervez pas.
D'ailleurs, finalement, ce qui me stresse dans le fait de prendre l'avion, ce n'est pas tant l'avion, justement -je l'ai pris assez souvent pour  que cela ne me fasse plus vraiment d'effet- ni même l'aéroport lui-même -certains ne sont pas si immanses que cela- que le fait de l'atteindre, l'aéroport en question.  Ce qui en général est onéreux en argent et en temps. Et en stress. Et quand  on s'appelle (ou se surnomme) Sel, éviter au maximum les sources de stress, c'est la condition numéro 1 pour la plupart des choses, dont les voyages.

Et puis dans les voyages en avion, on est séparés de nos bagages. Oh, je sais bien, en théorie, ils ne sont aps bien loin, et sur mes quelques trajets en aériens, je n'ai jamais eu à déplorer de perte, ni même de retard, de valise. Mais on m'a raconté assez souvent que cela arrivait que voilà. Et puis, les bagages : 20 kg, pas plus. Un seul bagage à main, et sans liquide dedans. (je me souviens d'un voyage d'un we en avion, pas de valise, je n'avais qu'un petit sac, que je gardais en bagage à main. Il contenait donc gel douche et compagnie. Gel et compagnie qui sont restés à l'aéroport. Des bouteilles neuves, bien entendu. Oh, c'est sûr, ce n'était pas grave, d'ailleurs, je n'en ai pas fait une maladie. Mais l'avion, si je peux éviter, je préfère.
Pour ce qui est de la limite des 20 kg, en soi, ce n'est aps si grave, vu que je suis de toute façon incapable de soulever ce poids. Je peux à la limite le traîner, mais je suis à la merci de l'absence d'escalators, et ça, c'est boarf. Mais en train, si je veux, je peux les répartir dans plus de sacs. Ce qui ne change pas grand chose, est encore plus encombrant, mais que j'arrive mieux à porter (enfin ça, je vous le dirais la semaine prochaine). Et en tous cas, pas besoin de peser tout cela avant de partir.

Le train  est cher, nous sommes d'accord, souvent plus que l'avion. Mais au moins, on le sait. les prix de l'avion varient tellement d'un jour à l'autre que c'est impossible  !

Après,c'est entendu : pour aller au Japon, ou à la Réunion, sans parler du Mexique, l'avion  a ses avantages sur le train:p Mais ça tombe bien, moi, je ne vais qu'à Rome...

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Ces deux photos ont été prises de Ciampino, un des aéroports de Rome.  Le 31 mars 2007. Vous savez quoi ? A cette époque, je rentrais en vacances en France. cette année, à cette époque, je serais déjà en France, et pas juste pour une semaine.  Pour la première photo, l'appareil m'indique 6h30 du matin. A mon avis, il était plutôt 7h30, ce qui est déjà tôt pour être à un aéroport, mais au moins, j'avais pu admirer un joli paysage, à travers les vitres.  Du moins, plus joli que ce à quoi je m'attendais. Bienvenue en Italie.

humeur : celle d'un lundi banal de janvier. Un peu morose, donc, mais ça va passer.
bande-son : un cd que je découvre offert par frangin et frangine. Il est rien chouette, alors merci beaucoup !
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20 janvier 2008 7 20 /01 /janvier /2008 20:23
Quels lieux étranges, les gares, les aéroports...
Lieux de toutes les retrouvailles et de toutes les séparations...De toutes les solitudes, aussi...Nous avons probablement tous vécu cela, descendre d'un train, voir la foule des gens qui attendent, et savoir que pour nous, il n'y a personne...C'est dans les foules qu'on est le plus seul et blabla. Remarquez, physiquement seul dans une chambre, avec même pas internet, on est bien seul, aussi. Mais passons.
La joie et la peur des départs,  des arrivées...Joie ou tristesse ? les deux sont tellement mêlés, parfois ! Heureux de quitter un endroit qui nous déplait et malheureux de quitter des amis, et vice versa (mais non, pas "heureux de quitter des amis", roh). Et ici, ces sentiments s'expriment plus forts qu'ailleurs, sans doute exacerbés par les séparations : tristesse des couples qui se séparent, joie de ceux qui se retrouvent et qui ne le cachent pas (et pourquoi le feraient-ils ?), inquiétude, sans doute, des mères qui laissent leur poussin pour la semaine...On le montre maintenant, parce qu'après, ce sera trop tard, et nos bras ne trouveront plus que du vide à enserrer.
Et puis,qui sait ce qui peut arriver pendant un voyage ? Cela n'est pas conscient, bien sûr, mais c'est là...

Car le voyage, cela reste un moment où on est plus fragile, sur la route...
Evidemment, de nos jours, cette fragilité ne se traduit pas par le risque d'être dévalisés par des brigands au coin d'un bois. Simplement, nous sommes en terrain autre, entre, entre deux destinations, entre le connu et l'inconnu, aussi, même si la route devient familière.
Mais aussi lieu de rencontre : "nous sommes tous dans la même galère". Enfin, dans le même train-avion. Voire ferry, si vous voulez.

Gare et aéroports, lieux de mélange : il y a ceux qui arrivent et ceux qui partent, ceux qui sont pressés et ceux qui, en avance de plusieurs heures sur leur train, ont trop de temps, ceux qui ont des valises plus lourdes qu'eux et ceux qui voyagent avec une simple malette d'ordinateur...Bien sûr, on retrouve cette diversité dans toutes les grandes villes. Mais où cela se cristalise-t-il mieux que dans les gares (dont celles de métro, après tout) ?

Et la gare, c'est aussi "celui qui reste sur le quai", celui qui s'en retourne après un dernier coucou et un dernier sourire plus ou moins triste derrière la vitre. Après, il faut reprendre le chemin archi-connu de la maison, des images plein le coeur et plein la tête. Mélancolique, triste, mais finalement heureux d'avoir accompagné quelqu'un à la gare et des moments passés ensemble.

En ce moment, je rêve assez souvent de train à prendre, que j'ai peur de râter et de me retrouver sur le quai. Pas besoin de psy, je suppose, pour deviner d'où ça me vient. Mais bon, c'est pas grave. D'ailleurs, dans deux semaine, je le prendrai effectivement, le train. J'espère qu'en Italie, au moins, il y a du soleil.

Bande-son : et j'entends siffler le train, chanté par Battiato, de préférence
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16 janvier 2008 3 16 /01 /janvier /2008 21:59
Petit éléphant rose est mort, ce matin. Je suis toute triste.
Petit éléphant rose me suivait depuis pas mal d'années. Il avait suivi fidèlement tous mes déménagements. Il avait bourlingué à Paris, Rome et ailleurs encore. Il souffrait, d'ailleurs, de plusieurs petites blessures. Et ce matin, pouf. Chute fatale. Et il est parti.

Non non, petit éléphant rose n'était pas le simple fruit de mon imagination ou de nuits trop arrosées. Il ne venait pas non plus me consoler au bord d'un lac alors que je m'étais endormie un beau jour, ou peut-être une nuit.
Petit éléphant rose était un compagnon. Celui de mes clés.
Petit éléphant rose (en bois) était mon premier porte -clé "de  chez moi" (par opposition aux parents).  Petit symbole de ma "première indépendance", celle qu'on gagne en étudiant dans uen autre ville que la ville des parents, même si on rentre tous les week-end. il ne faudrait pas que le linge sale s'entasse trop ! Cette vie est peut-être bien finie, et, bien ou mal, je m'installe, peu à peu, de plus en plus. Les déménagements à répétition, ce n'est plus vraiment ce que je veux. Petit éléphant rose aurait probablement moins changé de clés que lors de ses premières années de service.

Je n'ai pas vraiment de fétiches, ni de portes bonheurs. Mes clés ne vont pas pleurer petit éléphant rose (les ingrates) et moi non plus, en fait. Au contraire, ça va me faire un excellent prétexte pour acheter un autre "beau" porte clé en bois, qui me suivra pendant quelques autres années.

Mais quand même,je  l'aimais bien, petit éléphant rose.
(non, je ne lui avais pas donné de petit nom, désolée, pas la peine, donc, de me demander cette information probablement capitale pourtant. D'ailleurs, je donne rarement, ou jamais, de nom aux objets, à part deux ou trois peluches, poupées et autres de mon enfance)

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Rome, p.zza Minerva (je crois), 28 avril 2007

Tenez, en voilà un autre, de petit éléphant. Il n'est pas rose et est probablement plus lourd à trimballer dans un sac. Mais n'est-il pas mignon ? (par contre, la colonne sur le dos, ça ne doit aps être hyper pratqiue, je vous l'accorde)
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10 janvier 2008 4 10 /01 /janvier /2008 10:21
J'en ai marre des recherches d'appartements. Surtout de loin.
J'en ai marre que comme on s'y prend genre  un mois et demi avant de partir, rapport au fait que tes dates n'étaient pas valodées, tu te jettes un peu sur le premier truc qui semble disponible. Même si c'est à perpette. Surtout que le proprio il te dit "c'est près du métro". Près du métro mon oeil, c'est à six arrêts de bus du métro, bus qu'il faut de toute façon attendre une bonne demie heure. Donc près du métro ou pas, tu dois prévoir trois quart d'heures pour atteindre le centre (au lieu du quart d'heure prévu si tu es vraiment à l'arrêt de métro)

Je suis dégoutté que genre deux jours après que j'ai envoyé la validation, une copine à qui j'avais parlé de mes recherches me sort "j'ai une coloc qui part juste quand tu arrives, ça t'intéresse ?" cette copine habite en plein centre, elle. Bien sûr, que ça m'intéresse. Sauf que j'ai déjà validé là bas, loin loin, et je suis même pas certaine que les felus soient y soient bleues. Et que je l'ai bien là où je pense (enfin, au moins, j'aurai une chambre plus grande et probablement plus confortable)

Alors oui, c'est sûr, c'est seulement pour six semaines. c'est rien, c'est le quart de ce que j'avais fait l'année dernière. Eh bien même, j'ai quand même pas envie d'y aller. Et une trouille immense.

Bon, cette trouille n'est probablement pas aidée par le fait que je vais me faire extraire (je sais, c'est pas le terme, mais je sais plus ce que c'est, le vrai mot des vrais dentistes) ce soir les deux dents de sagesse qui me restent. j'ai beau être moins stressée que l'autre fois, je fais pas la fière quand même. Et je la ferai probablement encore moins quand je devrais prendre le métro transformée en hamster. Encore, j'ai de la chance, cette fois-ci, il n'y a plus de grèves.
Enfin, dans deux ou trois jours, si tout va bien, on n'en parlera plus.

Pourtant, à part cela, tout va bien. Enfin presque, mais on va pas chipoter. Tenez, je me suis même mise aux jeux video, pendant les vacances.
Bon, "se mettre aux jeux video", voilà un bien grand mot, enfin, grande expression.
Un beau soir, on me demanda "dis dis dis, ça te va si demain on va chez Machin ? Il a reçu une Wii pour Noël et il nous invite à essayer tu veux bien venir di dis dis ? "

Bref, le lendemain, arrivée chez Machin pour essayer la Wii. Les gens étaient en train de se démener, pardon, de jouer au bowling, donc, devant l'écran.
Bon, puisque j'étais là, je n'avais plus qu'à essayer à mon tour, même si j'avais un peu peur de me taper la honte. J'appris donc ainsi à jouer au tennis, moi qui ai des bras en coton tige, et au golf, alors que je ne suis jamais montée sur un green. D'autres boxèrent, et ce jeu-là est probablement le plus amusant. Pour ceux qui regardent, je veux dire. Qui regardent les joueurs.
Voilà, la Wii, double amusement : quand c'est toi qui a les manettes, et quand tu regardes ceux qui les ont. D'ailleurs, peut-être que c'est ça que je n'aime pas dans les consoles classiques. Les manettes. je sais pas, mais faut croire. (c'est vrai quoi, c'est amusant de tenir la manette en question et de s'en servir comme d'une batte ou d'une raquette. Et plus facile que du vrai golf, sans aucun doute possible. même moi, j'ai réussi à finir les parcours, c'est dire)
Ils sont trop forts.

(ouais, je raconte ma vie, et alors ?)

bande-son : le son de la pluie
humeur : ben..il pleut
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6 janvier 2008 7 06 /01 /janvier /2008 20:24
Joyeuse bonne année,  les gens !
Alors, on vous souhaite tout le bonheur du monde, et tout ci, et tout ça, pour vous, et ceux qui vous sont chers, enfin, vous connaissez la chanson. ce qui en la rend pas moins sincère pour autant, remarquez.

Le bilan de mon année n'intéresse probablement aps grand monde, c'est pourquoi,  dans ma grande amabilité, je vous l'épargnerai.
le bilan de ce blog ne vous intéresse pas plus, mais mon amabilité ayant des limites, vous y aurez droit quand même.
Alors voila, selon overblog, le mois où mon blog a été le plus visité depuis sa création, c'est mars 2007. Ce qui, dans un sens, est assez encourageant, parce que c'est aussi le mois où jai fait le plus de notes. C'était aussi  mes tous débuts avec un apareil photos. Photos, dont, depuis, je vous abreuve assez régulièrement. Tenez, du coup, je ne résiste pas.

P1030501.JPGNoël en Sarthe, ou plus précisemment, Asnière sur Vègre le 24 décembre 2007

Un temps très hivernal en ce 24 décembre, très bleu mais très froid. C'est bien, mais à condition de savoir que le soir, on dormira au chaud, après avoir bu le chocolat de Noël et déballé les cadeaux.
Et avoir placé le petit Jésus dans la crèche, évidemment. A propos de crèche, comme je retarde, c'est déjà l'épiphanie. Donc en plus de la joyeuse bonne année, je vous souhaite une bonne galette, avec plein de fèves. Plein de fèves, oui, parce que dans la couronne des rois provençales, il y a deux fèves, dont l'une que l'on peut planter, si elle n'a pas trop grillé, pour donner des bébés fèves le moment venu. Cette année, pas de galette provençale, "juste" une frangipane, pas mauvaise du tout (mais moins légère pour l'estomac)
D'ailleurs, aujourd'hui, c'est moi la reine. La reine des cloches, aurait probablement  dit mon père il y a encore quelsques années. Oui, ben zut, vaut mieux être reine des cloches que pas reine du tout. Tenez, d'ailleurs, j'irai à Rome au moment du carème, finalement, et j'en reviendrai pour paques. je dois bien avoir quelque chose de la cloche, après tout.

Bon, mais j'en étais au bilan de blog. L'amusant, c'est que le jour de plus grande fréquentation, c'était le 30 juin. Pourquoi le 30 juin? Je l'ignore. peut-être parce que j'étais en plein trajet entre Rome et Paris, et que vous vous inquiétiez tous de savoir si j'étais bien arrivée ? Probablement pas, mais laissez moi y croire !

Bande-son : Zucchero
Humeur : je n'avais pas posté depuis longtemps et pourtant, overblog s'offre le luxe de planter. J'ai donc perdu une partie de la note. Tant pis. A part ça, tout va bien, l'année commence bien, mais maintenant, eh oh eh oh, il faut reprendre le rythme du boulot.
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18 décembre 2007 2 18 /12 /décembre /2007 21:01
Il paraît qu'un jour, c'était le Printemps. Vous y croyez, vous ? Moi, je pense que c'est juste un mensonge qui a été forgé par les Anciens pour nous faire croire qu'Il reviendra. Qu'un jour, il y aura des fleurs, et des oiseaux. Vive les oiseaux, comme diraient les autres.

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23 juin 2006, jardin botanique,Rome

Je vous vois venir, le 23 juin, c'est en été. Peut-être, mais ça tombe bien, j'aime bien l'été aussi.

Bon, en parlant de printemps et de Rome, je lance officiellement une annonce : je serai là-bas en février-mars cette année. Et j'ai besoin d'un logement, car, aussi étrange que cela puisse paraître, j'aime bien avoir un toît pour dormir dessous. je sais, je sais, j'ai es goûts de luxe. En attendant, si par le plus grand des hasards, l'un de vous connaissait quelqu'un qui connaitrait quelqu'un qui justement, loue des logements genre en février-mars l'année prochaine, ben voilà, n'hésitez pas à me contacter.
Je sais, c'est un peu utopique, mais j'ai quand même trouvé deux logements à Paris par voie de blog alors qui sait ?

humeur : fatiguée fatiguée fatiguée. Vivement la fin de la semaine et les vacances.
bande-son : Imparare dal vento, Tiromancino.
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